Christian de Perthuis
Le prix de l’air
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La critique de I’Occident est un exercice classique et souvent stérile, notamment parce qu’i1 est univoque ou marqué par le ressentiment. Difficile de sortir de la repentance (des crimes commis au nom de I’Occident et cautionnés par leurs plus hautes autorités morales et religieuses) ou de l’humiliation (d’avoir subi le poids du colonialisme). D’où I’intérêt d’un texte s’attaquant au discours occidentaliste, mais porté par I’amour de I’art européen, de sa créativité et de la curiosité des différentes sociétés européennes pour «I’ailleurs».... —LIRE LA SUITE
Quoi de plus assommant qu’un livre d’économie ou d’histoire qui prétend TOUT expliquer, la crise à venir, passée et présente ? Eh bien, voici justement un livre d’économie ET d’histoire qui raconte en quelques chapitres quarante siècles de croissance économique, tantôt prélude aux déséquilibres démographiques, tantôt promesse vite éventée d’un bonheur inatteignable. Il fallait oser le faire : ce livre est passionnant et paradoxal. Non, la croissance n’est pas une fatalité. Pourvu que nous sachions en changer le modèle.... —LIRE LA SUITE
Longtemps les entreprises ont compté sur un prix de l’énergie relativement bas et stable, un approvisionnement facile et fiable. Elles ont compris que la vapeur était en train de s’inverser. Mais elles ne savent pas encore comment s’effectuera le changement, ni à quel rythme. Trop d’incertitudes planent. Les prochains accords de Copenhague lèveront au moins le doute pesant sur la capacité des États de limiter les émissions de gaz à effet de serre. S’ils se mettent d’accord sur des engagements et des moyens concrets, ils décideront de l’échéance tangible d’un réel changement dans les modes de production et d’utilisation de l’énergie. Sinon ? Le changement est en route, mais quelle route prendra-t-il ?... —LIRE LA SUITE
A force d’être répétée dans les éditoriaux de la presse économique, la formule du prince Salina «il faut que tout change pour que tout reste comme avant» devient aussi éculée qu’«après la pluie, le beau temps». Chacun est convaincu de la nécessité absolue de faire autrement, mais personne ne sait comment faire, ni par quoi commencer. Les politiques se démènent pour limiter les dégâts et empêcher que cela recommence, mais comment faire pour changer en profondeur et surtout, par quoi commencer ? A force d’attendre, on aura le changement ET le changement.... —LIRE LA SUITE